
MAXIMILIEN LUCE 1858-1941
Pins Parasols, Saint-Tropez, 1907
Huile sur panneau d'isorel
Maximilien Luce est un artiste néo-impressionniste et est exposé à la galerie HELENE BAILLY. « Les pins parasols, Saint – Tropez » est une œuvre de Maximilien Luce peinte en...
Maximilien Luce est un artiste néo-impressionniste et est exposé à la galerie HELENE BAILLY.
« Les pins parasols, Saint – Tropez » est une œuvre de Maximilien Luce peinte en 1907. Cette huile fait partie d’une série de tableaux réalisée par l’artiste lors de ses séjours à Saint Tropez. Luce découvre la ville pour la première fois en 1882 lors d’un séjour chez son ami Signac. Les pins, les ciels azur, l’eau scintillante et les terres chaudes offrent une inspiration renouvelée. Fasciné par la lumière méditerranéenne, il ne cesse de peindre des œuvres rendant hommage au paysage et au lieu. Luce, qui affectionne tant les nocturnes et les teintes violacées, compose avec la vive luminosité du sud.
Ici, il représente des pins parasols, arbres typiques du Sud de la France sous lesquels se reposent un berger. En arrière-plan, la mer du golfe de Saint Tropez, apparait majestueusement au travers des arbres. Les teintes vives et brillantes révèlent le talent de coloriste de Luce : entre les camaïeux de vert du paysage, le bleu azur de la mer et les tons rouges et orangés des petites maisons, il crée un ensemble harmonieux et vibrant évoquant parfaitement le climat méditerranéen. Conservant des réminiscences de la technique divisionniste dans le traitement de la couleur ce tableau marque toutefois un retour vers des compositions classiques et figuratives dans l’œuvre de Luce.
En 1893, il présente au Salon des Indépendants deux toiles de Saint-Tropez, qui seront les premières d’une longue série. Luce Visite en effet la région à huit reprises jusqu’en 1918. Au début du XXème siècle, les paysages méditerranéens imprègnent sa production d’arts décoratifs.
« Les pins parasols, Saint – Tropez » est une œuvre de Maximilien Luce peinte en 1907. Cette huile fait partie d’une série de tableaux réalisée par l’artiste lors de ses séjours à Saint Tropez. Luce découvre la ville pour la première fois en 1882 lors d’un séjour chez son ami Signac. Les pins, les ciels azur, l’eau scintillante et les terres chaudes offrent une inspiration renouvelée. Fasciné par la lumière méditerranéenne, il ne cesse de peindre des œuvres rendant hommage au paysage et au lieu. Luce, qui affectionne tant les nocturnes et les teintes violacées, compose avec la vive luminosité du sud.
Ici, il représente des pins parasols, arbres typiques du Sud de la France sous lesquels se reposent un berger. En arrière-plan, la mer du golfe de Saint Tropez, apparait majestueusement au travers des arbres. Les teintes vives et brillantes révèlent le talent de coloriste de Luce : entre les camaïeux de vert du paysage, le bleu azur de la mer et les tons rouges et orangés des petites maisons, il crée un ensemble harmonieux et vibrant évoquant parfaitement le climat méditerranéen. Conservant des réminiscences de la technique divisionniste dans le traitement de la couleur ce tableau marque toutefois un retour vers des compositions classiques et figuratives dans l’œuvre de Luce.
En 1893, il présente au Salon des Indépendants deux toiles de Saint-Tropez, qui seront les premières d’une longue série. Luce Visite en effet la région à huit reprises jusqu’en 1918. Au début du XXème siècle, les paysages méditerranéens imprègnent sa production d’arts décoratifs.